Quand la Cour pénale internationale risque de faire de la notion de bouc-émissaire une règle de droit ! – Par Philippe Arnon

Tout Israël, (c’est à dire tous les courants politiques et tous les citoyens), à l’unanimité, ont été profondément dégoûtés par le procureur de ladite cour, un certain Karim Ahmad Khan demandant des mandats d’arrêt contre Benjamin Netanyahou et son ministre de la défense Yoav Gallant, soit disant pour des crimes tels que “le fait d’affamer délibérément des civils” et “extermination et/ou meurtres”. La France elle, qui n’est jamais en retard d’une idiotie, a dit, par la parole de son ministre des affaires étrangères, soutenir cette engeance juridique de Satan. Et comme, elle a, chacun le sait, le sens de l’équilibre et bien sûr de la justice, elle s’est empressée de préciser que “les demandes simultanées de mandats d’arrêt ne doivent pas créer d’équivalence entre le Hamas et Israël”. Ouf ! On respire. Sans elle, franchement, on n’y aurait bien sûr pas pensé ! Mais quels pauvres types sont ces gens qui gouvernent la France !

Outre le fait que ce fameux procureur est bien sûr une saloperie musulmane originaire du Pakistan, infiltrée comme ses coreligionnaires en religion dans tous les pays occidentaux (à qui le faute ?) jusqu’à devenir maires de villes importantes comme récemment en Angleterre et même Premier ministre d’Ecosse, là même d’ailleurs où il a fait ses études de droit, il est une réalité sur laquelle il convient de s’arrêter un instant. Avant d’entrer dans les détails, on s’aperçoit au passage que la taqqya ressemble étrangement à cette politique d’infiltration nazie qu’on appelait la 5ème colonne : on devient un éminent juriste et une fois son statut reconnu par la communauté d’accueil, on fait de l’entrisme, c’est à dire, on sert la religion d’Allah !

En effet, depuis 2000 ans, c’est à dire au moment où la diaspora a commencé, les Juifs ont toujours été et régulièrement les boucs-émissaires de toutes les frustrations. Une crise économique importante créant une famine, une épidémie, une vague de froid sans précédent et je ne sais quoi encore perturbant l’équilibre général de la société, et hop ! la faute, c’est toujours cette étrange communauté vivant dans ses shtelts ou ses mellahs qui est responsable du malheur général. C’est ce qu’on a appelé le martyrologe juif qui comprend les pogroms, la Shoah … Alors on s’en prend à elle : on cogne à plaisir, on extermine à plaisir, on viole à plaisir, on détruit à plaisir, on vole aussi bien sûr à plaisir. Bref, on se défoule. Et quelle autorité politique fait rempart pour protéger les Juifs ? L’histoire a montré qu’il n’y en eut aucune. Quelquefois il est vrai, elle intervient après, hypocritement. Le 7 octobre n’est rien d’autre que cela, un épisode supplémentaire dans la longue liste des malheurs subis par les Juifs.

La plupart du temps, les Juifs se sont résignés à ce destin comme s’ils ne pouvaient s’en échapper. Mais un jour, en la personne de Theodor Herlz, ils se sont dits qu’il était temps de se lever. Ils ont alors créé rien que pour eux, une nation, si modeste par ses dimensions et si grande par son génie : ISRAËL. Alors, le 7 octobre,comme toute nation du monde envahie et écorchée par un ennemi sans pitié, Israël a pris les armes, non pas pour se venger comme le disent certains, mais pour mater définitvement ledit ennemi. Cela s’appelle la guerre !

Et à la guerre, si tu ne tues pas l’ennemi, c’est lui qui te tue. On dit qu’il y a des règles dans la guerre, des règles qualifiées, paradoxalement ! comme étant des règles d’humanité. Or ses règles, non seulement ignorées et bafouées par le Hamas, Israël les respecte, à tel point que son armée informe les civils quand elle va bombarder. Bref, après le 7 octobre, ISRAËL était dans une situation de légitime défense (le si fameux article 51 de la Chartes des Nations-Unies !), c’est à dire en guerre donc !

En conclusion, quand le procureur de la CPI accuse -en mentant par-dessus le marché- le Premier ministre d’Israël et son ministre de la défense d’”affamer et exterminer” les civils palestiniens, en les mettant tous les deux sur un plan d’égalité de surcroît avec les crapules du Hamas, il indique -indirectement bien sûr !- que les Israéliens, quoiqu’il leur arrive, n’ont pas le droit de répliquer, de se défendre, d’entrer en guerre contre leurs agresseurs car ils vont bien sûr commettre des crimes affreux et répréhensibles. La guerre, comme chacun le sait, est une joyeuse partie de cartes entre amies !

Donc, comme par le passé, les juifs doivent la fermer et subir, c’est à dire rester passif ; en d’autres termes, demeurer à jamais les boucs-émissaires de l’humanité toute entière ! Ainsi et clairement, si les juges de la CPI suivent la recommandation du procureur c’est à dire condamnent Benjamin Netanyahou et Yoav Gallant, ils juridiciseront alors cette réalité qui veut que certains (en fait, les seuls Israéliens !) soient éternellement des boucs-émissaires à qui on interdit le droit de se défendre, de contre-attaquer … parce qu’ils vont commettre des actes qui relèvent tout simplement de la guerre !!! Façon étrange de considérer le droit. Mais dans ce monde en voie de dégénérescence accélérée, on ne s’étonne plus de rien.

Je suis goy. Vive Israël !

Philippe ARNON

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