Souvent l’histoire bafouille, un éternel recommencement
Ou une Renaissance?
Depuis 20 ans les journaux télévisés se succèdent et se ressemblent, Il n’y fut question que de sentiments d’insécurité pour cacher la réalité de l’impossibilité du vivre ensemble, entre Français et adorateurs de Mahomet.
Tous les jours le vivre ensemble, c’est des accommodements avec la laïcité , la genoux flexion devant les chances pour la France. Depuis 20 ans se succèdent agressions, violences, viols et meurtres accompagnés de marches blanches et dépôt de fleurs et bougies quand l’un des nôtres, innocente victime, tombent sous le couteau d’un ”sensible” protégé, souvent nourri et logé par la gauche socialiste humaniste, des droits de l’homme, au nom d’un héritage antiraciste et pacifiste.( vous verrez plus loin le mensonge historique)
Qu’une racaille islamisée, élevée aux valeurs de la république , tombe sous la balle méritée d’un gardien de l’ordre et toute la gauche unie dénonce un crime raciste.
Toute cette gauche et une partie de la supposée droite est responsable de l’importation du nouveau peuple et de l’utopie du vivre ensemble, qui était en réalité le vivre côte à côte qui est maintenant le vivre face à face, prophétisé par Jean Marie Le Pen puis par Gerard Collomb (un peu tard). Le même Le Pen qui en octobre 56 quitta son mandat de député pour 6 mois pour s’engager comme chef de section et participa à l’opération de SUEZ au côté des Britanniques et des Israéliens, contre l’Égypte. Qui aurait ce courage aujourd’hui ?
Tout à coup cette gauche s’est réveillée, a sorti la tête du sable où elle dormait, par un grand coup de pied au cul. Le réveil d’un rêve multicolore idyllique, s’est transformé en un cauchemar entre Blancs et issus de la “diversité”.
Horreur et damnation. A nouveau dans Paris et toute la France, des Français d’adoptions venus nous enrichir culturellement défilent contre les Juifs aux cris de guerre d’Allah Akbar utilisés par tous les terroristes musulmans depuis Mahomet et la secte des Assassins Chiites
Dans la France de Macron les juifs on a nouveau peur, Ils ont peur sur le chemin de l’école et dans les écoles et collèges et jusque dans les universités, Dix écoles juives viennes d’être fermées par sécurité
Depuis l’attaque terroriste du Hamas contre Israël, l‘antisémitisme s’exprime sans complexe et le nombre d’agressions explose sous de multiples formes.
189 actes antisémites sont relevés depuis samedi dernier et également
2 449 signalements à la plate-forme Pharos en lien avec l’apologie du terrorisme ou des propos antisémites sur internet »,
Parmi ces faits : des inscriptions, comme « des croix gammées, des ‘morts aux Juifs’, des appels à l’intifada ». Mais aussi « des actes encore plus graves, des gens arrêtés à l’entrée d’une école ou d’une synagogue avec une arme blanche, un drone qu’on a vu voler à l’intérieur d’un lieu cultuel juif et 2 jeunes voulant faire exploser une bombe à l’acide chloridrique .
Dans la France socialiste de Macron, à nouveau (on le verra plus loin) des actes et manifestations antisémites sont autorisés, confirmant la soumission du gouvernement au nouveau peuple et à l’islamo gauchisme de LFI ne cachant plus son antisionisme avec son Leader Maximo , le Mélenchon antisémite.
OUI c’est bien dans une France encore socialiste que 48% des Français considèrent que la communauté juive est la sable prioritaire et où 85 % des Français sont inquiets pour leur sécurité.
Ce gouvernement et son chef de guerre contre un virus est incapable de gérer les conséquences des inconséquences des gouvernements socialistes précédents ouverts au multiculturalisme. Il A PEUR, d’un voile.
Dans le débat les opposant le 20 avril 2022, E. Macron a donné à M. Le Pen un étrange argument pour s’opposer à l’interdiction du voile.
“Ce serait la guerre civile” lui a-t-il dit droit dans ses rangers
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a évoqué sa rencontre avec Emmanuel Macron lors de la réunion des chefs des partis. Selon lui, le chef de l’État ne souhaite pas dissoudre les organisations politico-religieuses en France par risque de conduire le pays à la guerre civile 1. Cette déclaration a été faite dans le contexte de la récente attaque du Hamas et des tensions qui en découlent 1.
Macron a choisi entre la guerre et le déshonneur, il a choisi le déshonneur et vous aurez la guerre !
MACRON SOCIALISTE ? Fin 1990 il milite au MDC de Chevènement, De 2006 à 2009 il milite au PS, Mai 2012 secrétaire général adjoint de Hollande a l’Élysée, Avril 2014 ministre de l’économie du gouvernement Valls.
Le gouvernement de la France est dirigé par Élisabeth Borne, transfuge du PS en 2017, et 11 ministres anciens socialistes
Au parlement le groupe Renaissance , 169 députés (bien nommé , on le verra plus loin) est composé de 126 députés venus de la gauche et 43 apparentés venus de la droite tordue ( dis-moi qui tu fréquente je te dirais qui tu ais)
Sur les bancs de la gauche on trouve 74 LFI, 27 socialos, 23 écolos, 22 gauche démocrate
Un gouvernement et 315 députés gauchos compatibles, collabos, incapables, et sans volonté d’éradiquer les nuisibles qui infestent notre pays
Maintenant vous allez comprendre pourquoi la gauche a fait une telle place aux envahisseurs, venus crier morts aux juifs. Ils sont les héritiers d’une première collaboration. Une Renaissance?
À nous les patriotes, depuis longtemps la gauche nous fait le coup de l’héritage, par-ce-quelle a beaucoup à cacher et à se faire pardonner. À notre tour de lui parler de son héritage.
Quant à notre héritage ce fut un grand mensonge, à vous de chercher dans cet article qui serait trop long, si je vous donnais la liste des résistants.
Simon Epstein est un économiste et historien israélien. il est l’auteur de plusieurs ouvrages relatifs au racisme, à l’antiracisme et à l’antisémitisme,
Dans ;Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance
Spécialiste de l’antisémitisme, Simon Epstein, Juif installé en Israël, a constitué au fil des ans un socle informatif considérable sur les itinéraires contrastés de deux catégories de Français : ceux qui protestèrent contre le racisme et l’antisémitisme dans les années 1920 et 1930, avant de s’engager dans la Collaboration ; et ceux qui exprimèrent une hostilité ou un préjugé à l’égard des juifs, puis qui se retrouvèrent, l’heure venue, dans la Résistance. Ce livre ne retrace ni l’histoire de l’antiracisme ni celle de l’antisémitisme ; il est l’histoire du passage de l’un à l’autre.
De nombreux militants du PPF, du RNP et du POPF proviennent de la gauche. Il en va de même de toutes les structures de la collaboration ouvrière et socialiste : Ligue de la pensée française, Comité ouvrier de secours immédiat, groupe France-Europe. Les dirigeants, animateurs, idéologues, militants ou adhérents de ces groupements sont presque tous des gens de gauche, qui continuent de se réclamer, pour la majorité d’entre eux de leur appartenance première. Le groupe Collaboration est pour sa part doté d’un président-fondateur venu du pacifisme, d’un animateur formé à la SFIO, aux Auberges de jeunesse, au Front Populaire :
Les principaux chefs de la Collaboration ont traversé, chacun à sa manière, une phase de dénonciation de la haine antijuive ; beaucoup furent même militants de la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA). Réciproquement, de nombreux résistants, et non des moindres, sont originaires d’une extrême droite nationaliste qui, dans les années 1930, fut fertile en prises de positions hostiles aux juifs. C’est ce phénomène paradoxal que Simon Epstein décrit puis analyse, en s’appliquant aussi à démonter l’occultation dont ces chassés-croisés, déroutants certes mais significatifs, ont fait l’objet dans les mémoires françaises.
La Ligue de pensée française est l’une des plus curieuses organisations politiques de la collaboration. Elle est en effet composée de militants et intellectuels issus de divers horizons de la gauche politique, syndicale ou associative (SFIO, ex-PCF, radicaux, CGT, SNI, Fédération nationale des directeurs d’école), laïcs (Fédération des œuvres laïques, Centre laïque des auberges de jeunesse), pacifistes, parfois francs-maçons (ce qui est paradoxal dans un groupe collaborationniste) voire d’anciens membres du Comité de vigilance des intellectuels antifascistes
Jacques Doriot et le PPFLe PPF sera ouvertement antisémite.
Les anciens communistes et l’extrême gauche maîtrisent le PPF ;,
- Jacques Doriot progressa très vite dans la hiérarchie communiste : orateur de choc, très antimilitariste et très anticolonialiste , il prône l’alliance des forces de gauche contre le « fascisme ». Il devient anticommuniste alors que peu après le parti se rallie à ses thèse. Doriot fonde le PPF au cours duquel certains militants saluent le point fermé et d’autres le bas tendu, Le PPF a ses débuts n’est pas antisémite Il devient antisioniste et favorables aux musulmans d’Algérie : il demande la protection de la langue arable la création d’écoles coraniques.
Le 3 octobre 1940, les 110 000 juifs d’Algérie cessent d’être des citoyens français, En 1941,18 500 enfants juifs sont chassés de l’école publique.
Marcel Déat, est un homme politique français, socialiste, puis néo-socialiste, figure de la Collaboration pendant l’Occupation. il est député SFIO de 1926 à 1928 et de 1932 à 1936. En 1933, il est exclu du parti pour ses doctrines de plus en plus autoritaristes et son soutien au cabinet Daladier. Il participe la même année à la création du Parti socialiste de France, et devient le chef de file des néo-socialistes, de plus en plus séduits par les modèles fascistes. Il fonde en 1941 le Rassemblement national populaire, parti « socialiste et européen » favorable à l’occupant nazi.
Le Parti ouvrier et paysan français (POPF) est un parti politique collaborationniste français actif de 1941 à 1944 et composé d’anciens parlementaires et élus locaux du Parti communiste. Le Parti ouvrier et paysan français est composé d’anciens élus du Parti communiste d’abord opposés au pacte germano-soviétique de septembre 1939, puis favorables sous l’occupation à la collaboration avec l’Allemagne.
Le POPF et le Comité ouvrier de secours immédiat (Cosi), dirigés par quelques figures de la gauche anarchiste et syndicale, sont les principales organisations collaborationnistes issues de la gauche révolutionnaire.
Le principal dirigeant du MSR fut un cagoulard : Eugène Deloncle. Mais une fois celui-ci parti, il fut remplacé par Georges Soulès qui venait du trotskisme, des Étudiants socialistes, de la SFIO de la tendance « Gauche révolutionnaire » de Marceau Pivert, ainsi que par André Mahé, qui fut militant syndicaliste et libertaire. L’adjoint de Soulès, Paul Vayre, était lui « de bonne culture marxiste et même bolchevik, mais dégoûté du stalinisme et tourné vers une sorte de national-communisme idéal.
La Milice mérite une attention particulière : Darnand vient de la droite radicale et il confie des postes clefs à des gens ayant un parcours similaire au sien. Des personnages importants de la Milice ont fait leurs classes dans les rangs de la gauche : le second de Darnand, Francis Bout de l’An, venu de la Ligue d’action universitaire républicaine et socialiste, François Gaucher, qui fut socialiste, Roger Poisson venu du parti socialiste ouvrier et paysan plus à gauche que la SFIO. Simon Epstein remarque que plus la milice se nazifia, notamment lors de sa fusion dans la division SS Charlemagne, plus elle se proclama européenne, plus les chefs miliciens venus de la gauche et de l’extrême gauche prirent le pas dans l’organisation. La même remarque concerne Je suis partout : après le départ de Robert Brasillach, ce sont les éléments venus de la gauche, Alain Laubreaux et Pierre-Antoine Cousteau, qui positionneront le journal sur un créneau maximaliste pro-hitlérien.
https://fresques.ina.fr/mitterrand/fiche-media/Mitter00296/les-relations-de-francois-mitterrand-et-rene-bousquet.html René Bousquet – est un personnage ambigu. Préfet, gravitant dans les milieux politiques radicaux de la IIIe République, il devient sous l’Occupation l’un des hauts fonctionnaires du régime de Vichy. Confronté à la collaboration, nommé secrétaire général de la Police, il est responsable de la déportation des juifs de France notamment lors de la rafle du Vélodrome d’Hiver de juillet 1942. Paradoxalement, à partir de 1943, René Bousquet rend des services à la résistance, et probablement au réseau de François Mitterrand. Il fréquente alors les milieux politiques et économiques et notamment François Mitterrand qui le reçoit à Latché, sa résidence secondaire. Ceci explique le qualificatif « d’ami »
Ce qui choque c’est qu’il ait pu frayer avec quelqu’un qui a été un outil de l’antisémitisme d’État et un complice de la solution finale du Reich
Suit une longue liste de militants communistes , socialistes , syndicalistes , passés de l’antiracisme et l’antisionisme a la collaboration et inversement suit une liste de personnalités connues antisémites issus de l’extrême droite, passées a la résistance,
Le Blog de Thérèse 