LE CANULAR DE L’INVENTION DU PEUPLE JUIF par Thérèse Zrihen-Dvir

La Stèle de Mérenptah ou stèle d’Israël

En dépit des efforts incessants des arabes de Palestine, exhortés par les médias antisémites et anti-israéliens, par l’ONU, par l’Union Européenne et comment non par les USA… la vérité est mise à nue…

Ces poltrons du dimanche veulent contraindre le peuple juif à renoncer à ses terres ancestrales et à accepter un suicide certain en donnant son aval à la création d’un État palestinien, en dehors des deux États palestiniens existant déjà sur le terrain en Jordanie (qui occupe 77% de la totalité des terres de la Palestine mandataire), et sur la Bande de Gaza.

À cette horde frauduleuse d’ennemis qui harassent les Juifs d’Israël, on peut ajouter une liste bien longue de juifs haineux de soi, qui pour leur célébrité, ont même prétendu à l’inexistence d’un peuple juif.

On a beau dire, on a beau faire, les traces de ce peuple existent bien avant la montée de nombreuses puissances – quelque part entre 1500-1300 ans avant J.-C.,

Elles se présentent en forme de stèles – La Stèle de Mérenptah ou stèle d’Israël

Cette stèle de granit gris qui mesure 3,18 mètres de haut sur 1,61 mètre de large et 31 centimètres d’épaisseur, fut érigée initialement par Amenhotep III (ou Aménophis III en grec ; Amāna-ātpa en égyptien ancien, signifie Amon est satisfait), neuvième pharaon de la XVIIIe dynastie (période du Nouvel Empire). Manéthon de Sebennytos (en grec ancien Μανέθων, Μανέθως IIIe siècle avant notre ère) est un prêtre égyptien qui a écrit une Histoire de l’Égypte. Manéthon l’appelle Aménophis. Il règne trente-huit ans et sept mois, mais certains égyptologues pensent à une corégence avec son fils Amenhotep IV à la fin de sa vie. On situe son règne aux alentours de -1391/-1390 à -1353/-1352.

La stèle est particulièrement connue pour contenir, dans la strophe finale, la première mention supposée d’Israël (ou plutôt, des Israélites) hors du contexte biblique, c’est également la seule mention d’Israël connue dans les textes égyptiens. La stèle a été découverte en 1896 par Flinders Petrie – égyptologue anglais, professeur d’égyptologie à l’Université Collège de Londres – lecture des hiéroglyphes :

Kana’an est dépouillé de tout ce qu’il avait de mauvais.

Asqalon est emmené.

Gezer est saisie.

Yebnoam devient comme s’il n’avait jamais existé.

Isra’el est détruit, sa semence même n’est plus.

Mention d’Israël

Partie de la stèle mentionnant le terme ysr3r= Israël

Cette traduction a été contesté par un autre historien Monsieur Joseph Davidovitz, qui affirme dans son article, qu’il y a falsification et qu’Israël n’a pas été détruit.

Nous avons aussi une autre stèle – La Stèle de Mesha

La ‘Stèle de Mesha présentée au Musée du Louvre en 2012.

La stèle de Mesha atteste de la présence d’un « Israël » en Canaan à la fin du XIIIe av. J.-C. Elle témoigne des vagues de populations qui s’installent dans les hautes terres de Canaan. Israël n’est ensuite plus mentionné avant le IXe siècle av. J.-C. où il apparaît sur la stèle de Mesha La stèle de Mesha est une stèle de basalte découverte en 1868 et sur laquelle est gravée une inscription remontant à l’époque du roi Moabite Mesha (IXe siècle av. J.-C.,). Le texte de trente-quatre lignes (l’inscription la plus longue découverte jusqu’à présent pour cette époque de l’ancien Israël), est écrit en moabite. Datée environ de 850 av. J.-C, elle relate les victoires de Mesha au cours de sa révolte contre le royaume d’Israël après la mort de son suzerain Achab.

La pierre, arrondie à son sommet, fait 124 cm de hauteur pour 71 cm de largeur et de profondeur. Elle a été découverte en août 1868 par le révérend F. A. Klein, missionnaire allemand à Jérusalem, sur le site de Dibon (Dhiban en Jordanie).

Ce ne sont là que quelques vestiges archéologiques, il existe tant d’éléments importants découverts en Judée et Samarie qui attestent du règne du roi David entre autres…

Le monde n’apprécie pas la diffusion d’information qui culbute  tous les postulats et les mensonges concernant les terres ancestrales juives pour la simple raison que cela torpille leurs plans et leurs intérêts.

La vérité ne doit jamais être occultée.

Extrait de mon étude : Le Canular de l’invention du peuple juif. Editions Lacoursière. En vente aussi chez l’auteur.

Thérèse Zrihen-Dvir

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