Pendant de longues années, le gouvernement israélien a permis aux factions terroristes de la bande de Gaza de s’armer, d’améliorer leur arsenal, de se militariser… L’observant du haut de leur vigie avec un certain dédain, les dirigeants israéliens se comportaient un peu comme le lièvre et la tortue.
Pendant de longues années, les habitants du sud d’Israël n’ont cessé d’exhorter le
gouvernement israélien, de trouver une solution à la perpétuelle pluie de roquettes que ces factions de la bande de Gaza leur assènent quotidiennement, sans qu’une réponse adéquate ne soit adoptée. Puis ce fut l’avalanche de ballons incendiaires qui leur brûlaient les champs, leurs demeures et menaçaient leurs vies. Une solution à ce problème tarde à ce jour à être implémentée.
Il a fallu entendre ces factions menacer Jérusalem, poser un ultimatum dans lequel, ils osaient annoncer que si israéliens n’abandonnent pas leur prétendu « lieu saint la mosquée d’Al Aqsa » pour que finalement les dirigeants israéliens réalisent leur méprise, leur négligence, leur étourderie panachée d’arrogance…
La chute de roquettes sur Jérusalem, sonna le réveil des dirigeants israéliens… Plus moyen de reculer, plus moyen de tergiverser, cette abomination appelée Hamas ou Djihad palestinien, ne peut plus être ignorée. Elle est là et exige une rémission des plus humiliantes.
Le problème de la bande de Gaza n’est pas là pour disparaître et la pacification démontrée par les dirigeants israéliens, n’a servi qu’à contribuer à sa légitimité, à sa perfection, à son armement, son organisation pour une conflagration qui n’est pas de la catégorie ou du genre à négliger.
Les premières roquettes tombées sur le sol de Jérusalem n’étaient alors que la face visible de l’iceberg. L’hallali venait de sonner. Les villes côtières furent les premières à essuyer salve après salve des centaines de roquettes, détruisant des maisons, brûlant des voitures, tuant des personnes, en blessant d’autres.
La population d’Israël est bien entraînée et sait comme s’organiser face à chaque menace. En dépit de l’intensité de l’attaque, il n’y eut aucune panique… Les israéliens connaissent bien la routine. Ils ont vu tant de guerres, tant de morts, tant de menaces existentielles, que c’est devenu presque naturel de réagir avec froideur, calme et efficacité.
Les services d’urgence, de santé, de sécurité, bien huilés, répondent sans tarder à chaque attaque, peu importe le lieu, l’heure et le danger.
L’armée israélienne est l’orgueil et la fierté de tous les israéliens… Présente, efficace, calme et constante.
La majorité des israéliens ont passé la nuit dans des abris sécuritaires… les sirènes ont
sonné partout dans toutes les villes d’Israël de nuit comme de jour… Les casualités sont minimales comparées au nombre ahurissant de roquettes qu’ils ont essuyées.
Bibi et son chef d’état-major, bien qu’impréparés, affichent une force et une assurance dignes d’éloges.
Mais la bataille vient à peine de commencer et cette fois, il faut la terminer.
AM ISRAËL HAY
Thérèse Zrihen-Dvir
Le Blog de Thérèse 
La terminer? je n’en suis pas du tout convaincu, car jusqu’a preuve du contraire, c’est le hamas qui dicte le comportement de nos dirigeants lesquels durant 30 ans se sont mis a terre devant les gandouras. Je constate que tsahal n’arrive meme pas a botter le cul des quelques rats, alors que nos politiques et meme les militaires pretendaient, « nous sommes prets a faire face a une multitude d’attaques venant du yemen, d’iran, de syrie, du liban
BLA BLA BLA
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