UE : 200 milllions d’amende pour la Hongrie pour non-respect du droit d’asile

14 juin 2024 Pierre Duriot

Le « plan » européen d’invasion…

La sentence est tombée à l’égard de la Hongrie : une lourde amende pour non-respect du droit d’asile. La Cour de justice de l’Union européenne a condamné la Hongrie à payer une somme forfaitaire de 200 millions d’euros et une astreinte d’un million d’euros par jour, pour ne pas s’être mise en conformité avec le droit de l’UE en matière d’asile.

Budapest n’a pas exécuté un arrêt, datant de décembre 2020 et l’obligeant à garder un migrant sur son sol dans l’attente d’une décision définitive sur son éventuelle régularisation. Ce « manquement » de la Hongrie « a pour effet de transférer aux autres États membres la responsabilité » d’assurer « l’accueil des demandeurs de protection internationale, le traitement de leurs demandes et le retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier » et « porte une atteinte grave au principe de solidarité et de partage équitable de responsabilités entre les États membres ».

Cela signifie aussi que la politique d’accueil est une obligation donc bien un plan de l’Union Européenne qui en veut absolument pour accueillir à marche forcée, essentiellement des hommes, essentiellement des arabo-africains et essentiellement de confession musulmane. On n’en voit pas trop l’intérêt. Main d’oeuvre souvent peu formée, elle reste majoritairement au chômage et se retrouve largement sur-représentée dans la délinquance des grandes villes, notamment les mineurs non-accompagnés.

On peut y voir aussi un genre d’avertissement à la France d’un éventuel gouvernement de ce qu’ici on appelle « l’extrême droite » et qui sert d’exemple pour un gouvernement Bardella qui ferait sienne l’idée de ralentir ce flot incontrôlé d’immigration arabo-africaine, comme il en a l’intention. Mais dans l’Europe, la France n’est pas la Hongrie. La France est le second contributeur de l’Europe et surtout, elle donne plus qu’elle ne reçoit, c’est à dire qu’elle pourrait, si un tel jugement la frappait, expliquer qu’il faut changer ce qui n’est finalement qu’un plan d’invasion de leurs propres pays que l’on fait payer aux contribuables, comme l’explique De-Villiers. Et pour joindre le geste à la revendication suspendre sa contribution à l’Europe, si elle est obligée de garder des migrants indésirables.

Cette question, nous l’avons dit au RPF, dont faire l’objet d’un référendum, à savoir si les Français veulent encore ou ne veulent plus de cette immigration arabo-africaine. Ils n’en veulent plus, c’est justement pour cela qu’il n’y a pas de référendum, puisqu’on en connaît la réponse. Mais le peuple pense mal, c’est bien connu et on doit lui imposer ce dont il ne veut pas puisque c’est ainsi. Le problème est qu’on ne voit pas pourquoi les contribuables français seraient obligés d’accepter ce dont ils ne veulent pas selon un processus qui n’a plus rien de démocratique. Au RPF, nous préconisons même de pratiquer ce qui se pratique dans la très grande majorité des pays du monde : l’étranger arrive à ses frais. Par sa position de second contributeur de l’Europe, la France, pas comme la Hongrie, a les moyens de peser sur cette politique et un gouvernement RN pourrait entamer le bras de fer avec ce qu’il faut bien appeler la « dictature bruxelloise ». Reste à savoir si un Bardella aurait le cran de s’y essayer ou s’il se couchera, comme s’est couchée Meloni ? Pour un éventuel RN au pouvoir, cette question pourrait bien faire office de test de son beau discours sur la souveraineté.

https://t.me/R_P_France

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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