Olivier DUKERS
Commenté par Thérèse Zrihen-Dvir

Quelqu’un avait écrit une fois dans sa revue de l’une de mes œuvres, une phrase qui m’a frappée lorsque j’ouvris le livre d’Olivier, entamant la lecture des premières pages de son Odyssée. Je me fais un grand plaisir de vous la répéter :
« J’ai ouvert l’ouvrage de Thérèse Zrihen-Dvir comme on peut aller à un rendez-vous avec une amie très chère. Nous savons que nous passerons un agréable moment, que nous apprendrons l’un de l’autre et qu’en se quittant, c’est une page de nostalgie que nous ouvrirons. Mais ce fut bien plus ».
Et c’est exactement ce que j’ai ressenti aux premières lignes de l’Odyssée V.I. de mon ami Olivier Dukers.
Ce n’est pas du tout une autobiographie, mais plutôt une fiction, un voyage dans le temps, une aventure stellaire, un monde si proche et si lointain – une sorte d’un nouveau Star-Wars qui réclame une compilation inouïe de savoir sur les planètes, sur les galaxies, sur ce que l’avenir va proposer dans un futur très proche à nos descendants. Car il faut l’avouer, le progrès ne cesse de nous surprendre, et si, il fut un temps, on suivait sur l’écran de notre télévision avec un scepticisme non dissimulé, Star Treck and the Entreprise… Nous sommes sur le point d’atteindre de pareilles confrontations… de pareilles révélations et expéditions.
L’Infini nous ouvre ses portes…
Allons donc à la découverte de Mikael, un adolescent effacé et timide d’où émergera un homme phénoménal, né de la fusion de deux esprits, de deux êtres humains… de deux cerveaux et de deux époques… et là, nous nous embarquons vers l’aventure, la guerre des étoiles, les conflits extra-planétaires, l’étonnante facilité d’accéder à des domaines que seul l’imagination peut nous faire entrevoir, et peut nous concéder de voguer sur ses cimes.
Un livre touffu, une plume fluide, précise, très stylée. Une compilation de détails extraordinaire… et une épopée envoûtante, aventureuse, pleine de surprises et captivante… Nantie pourtant d’une étonnante tendresse et affection pour notre petite et vieille planète appelée Terre.
La découverte de l’amour, le vert des champs, le bleu du ciel, la mer, les plages, le repos du guerrier, et le retour vers l’aventure. J’aimerai tant vous parler de ce héros, de cet Ulysse des temps futurs… Je crains seulement d’ébrécher votre plaisir de le connaître, de blêmir en quelque sorte le suspense et le triomphe des capacités illimitées de l’homme.
Où est le Créateur ? Il observe, un sourire dans le coin, les pérégrinations de l’être humain, ses percées, les limites franchies le portant à découvrir l’infini, l’immensité et complexité du Cosmos – l’apothéose de Sa création.