Christian Cotten, psychosociologue, écrivain, résume ce complot. Jeudi 17 novembre 2022. « Débranchons le cadavre chaud de la Ve République avant que la mafia qui la maintient en survie ne détruise le peuple ».
Début 2021, un groupe de juristes français spécialisés en droit international et en histoire du droit constitutionnel, réuni auprès de Maître Fabrice Bonnard, m’a sollicité comme porte-parole de leur travail qui offre une issue juridique raisonnable à la crise actuelle pour revenir à un État de droit dans notre pays.
La majorité d’entre nous avons désormais compris que le trucage du jeu électoral ne permettait aucune issue et qu’il fallait donc inventer autre chose. Depuis plusieurs décennies, les élites occidentales, sous l’emprise des idéologies eugéniste, malthusienne et transhumaniste, héritées du nazisme, ont préparé une guerre multidimensionnelle contre les peuples de la terre, dans le but de réduire la population humaine à quelques centaines de millions, tout en installant un contrôle total militaire sur des esclaves au service d’une élite de cent millions de prédateurs conduits par des êtres dont on peut se demander s’ils sont encore humains.
Si les Allemands ont bien perdu la Seconde Guerre mondiale, les nazis l’ont gagnée. Ce sont leurs héritiers qui gouvernent aujourd’hui une grande part du monde occidental, le ménage n’est pas fini. Pulvérisation chimique de la géo-ingénierie, empoisonnement par de faux médicaments et machins poisons, alimentation industrialisée à outrance, de moins en moins nourrissante et de plus en plus toxique, brouillards électromagnétiques de plus en plus intenses et dangereux, guerres à répétition, persécution occidentale sur de multiples peuples, guerre contre les enfants retirés abusivement à leurs parents protecteurs, pédocriminalité des élites cocaïnomanes adeptes des sacrifices humains, avortements massifs en vue de l’exploitation des matières organiques, idéologie du changement illusoire de sexe, héritage des pratiques médicales multiséculaires les plus barbares de castration des esclaves rendus eunuques et stériles, drogues multiples, armes biochimiques ou encore psychologiques.
À ce jour, notre République est utilisée à des fins totalement destructrices par des bandes criminelles organisées de menteurs, voleurs et tueurs, au service des intérêts de puissances étrangères et aux dépens de toute la société française. L’exclusion du travail des non-injectés, soignants, pompiers, gendarmes, enseignants et autres professionnels, constitue avec une visibilité de plus en plus massive des effets secondaires des faux machins vrais poisons, deux symptômes majeurs pour un diagnostic limpide. La Ve République est morte et le peuple de France est confronté à cet immense défi, comment se débarrasser des gangsters qui donnent des ordres illégaux à l’ensemble des agents de l’État.
Les promoteurs prétendument scientifiques d’une réduction de population sont des handicapés de l’intelligence du cœur et leurs actions de sociopathes, de plus en plus violentes, doivent être arrêtées. La population en état de choc traumatique face aux attaques totalitaires subies depuis 2020 est en train de s’éveiller aux dures réalités de ce monde, et dans le même temps, peut prendre conscience que nous sommes les plus nombreux, que nous disposons de toute la puissance du verbe connecté au vortex de l’intelligence collective du cœur et que nous avons le pouvoir collectif de créer le schéma de rupture indispensable à notre survie face au plus ignoble personnage public que nous avons eu à connaître depuis plusieurs décennies. La bête immonde que nous croyions avoir écrasée en 1945 est toujours vivante.
Entre le 13 décembre 2007, signature du traité de Lisbonne et le 4 février 2008, la France a été violée, en réunion, par le personnel de direction des institutions de la République, gouvernement et Parlement confondus, et la Ve République est morte, et maintenue artificiellement en vie, car formellement putative et illégale depuis ce 4 février 2008, où le Congrès a permis, par un changement constitutionnel, la ratification du traité de Lisbonne, pourtant refusé sous sa forme antérieure du traité de Rome 2 par plus de 54 % des électeurs le 29 mai 2005.
Comment allons-nous faire pour débrancher définitivement la Ve République, arrêter les criminels et revenir à l’État de droit par une période de légalité transitionnelle ? Nous avons pour cela deux puissances, celle du verbe et celle des armes. Armes qui précisément sont détenues par les seuls agents de l’ordre public, douaniers, gendarmes, policiers et militaires, en oubliant les chasseurs. Car, comme tous les autres agents de l’État, les agents de l’ordre public sont soumis au devoir de désobéissance à des ordres manifestement illégaux et de nature à compromettre gravement l’intérêt public.
Le pouvoir de chaque citoyen est donc désormais d’interpeller avec diplomatie et dans la paix du cœur chaque agent de l’État français, du simple agent d’accueil en préfecture aux officiers de gendarmerie, aux préfets ou aux diplomates, à l’élu local, ou aux médecins de l’hôpital public, avec cette question : Quel choix faites-vous ?
Continuer à obéir à des ordres qui sont manifestement illégaux et contribuent à détruire la société, à blesser et tuer vos compatriotes empoisonnés par des injections forcées ou assumer vos responsabilités d’être humain, de fonctionnaires de l’État en charge de protéger la population ? Quelles perspectives s’ouvrent à vous ? Faire respecter des lois édictées par des gangsters qui vous manipulent ou vous retrouver demain devant un tribunal d’exception pour ne pas avoir désobéi et ainsi avoir participé à un génocide planétaire alors que votre devoir était de désobéir ?
Je ne doute pas un seul instant qu’une large majorité de citoyens comprendra l’absolue nécessité d’un schéma de rupture ouvrant une période de légalité transitionnelle et un changement de régime politique, et qu’ainsi les agents de l’ordre public assumeront leurs responsabilités en procédant à la mise en sécurité des gangsters aux fins d’éviter d’être lynchés sur la place publique.
Christian Cotten, le 24 juin 2024. « En ces jours de guéguerre Front contre Front au sein de nos élites corrompues et toutes complices dans la course à la gamelle, la vraie question n’est pas qui va gouverner entre pro sionistes de droite ou va-t-en-guerre de gauche ou prétendus républicains mondialistes tous fauteurs de guerre mais : comment le peuple français va-t-il retrouver sa souveraineté dans le retour à un Etat de droit, en assumant d’accomplir l’acte terminal d’euthanasie de la République ?
Résistants et éveillés, ne vous trompez pas d’ennemi ! Peu importe quelle obédience maçonnique gagnera le 7 Juillet, l’important est de faire mordre la poussière aux menteurs, voleurs et tueurs qui utilisent nos institutions au profit des Forgerons et Empoisonneurs de l’Empire ».
Quelques réflexions
1- « la population en train de s’éveiller ». Des personnes de plus en plus nombreuses ressentent des troubles devant les mensonges, devant les crises qui se renouvellent, devant la hausse des prix et la baisse du pouvoir d’achat. Quand l’intérêt personnel commence à être atteint, les gens ouvrent un œil et sortent du sommeil. Mais cette réanimation est toute relative : la majorité des citoyens ne comprennent toujours pas le mondialisme, vecteur principal pour ne pas dire unique de toutes les calamités qui affectent l’humanité entière.
En quoi consiste le mondialisme ?
Qui sont les responsables, les agents du mondialisme ?
Quelle est l’organisation du mondialisme ? En quels lieux secrets les responsables du mondialisme se réunissent-ils ? Quelles sont les sources occultes, les origines secrètes du mondialisme ? Quels sont les textes fondamentaux récents sur lesquels s’appuie le mondialisme ?
Quels sont les moyens, les armes, les instruments du mondialisme ?
Quels sont les buts, les desseins, les finalités du mondialisme ?
2- « la puissance des armes, celles détenues par les douaniers, les policiers, les gendarmes, les militaires ». Des membres de base de ces corps chargés de protéger la population partagent les mêmes difficultés que le peuple, connaissent les mêmes souffrances. Mais eux aussi ignorent la profondeur du problème, ont une famille, des remboursements à honorer. Dans ces conditions, il est difficile de se révolter. De plus, les chefs, les gradés, notamment les officiers supérieurs donneurs d’ordres, pratiquement tous francs-maçons, corrompus par le pouvoir, adhèrent à l’idéologie dominante parce qu’ils en recueillent les fruits et bénéfices, sans forcément en maîtriser tous les rouages. Il ne faut donc rien attendre de ces corps de métiers, douaniers, gendarmes, policiers, militaires, pourtant prédisposés à défendre en priorité le peuple. Non, ils soutiennent le pouvoir politique contre le peuple. On l’a vu lors du soulèvement des Gilets jaunes où les policiers se sont conduits en véritables SS. On le voit chaque fois que ce pouvoir totalitaire prescrit des oukases inadmissibles, par exemple l’arrestation de Virginie Araujo-Recchia, avocate, la dissolution des groupes identitaires qui ne commettent aucun acte de violence, dont le dernier en date, le mouvement lyonnais Les Remparts.
3- « les agents de l’ordre public soumis au devoir de désobéissance. Quel choix faites-vous ? »
Ils obéiront aux ordres quels qu’ils soient et ils respecteront les lois, aussi iniques soient-elles.
Ils continueront à protéger et à couvrir le pouvoir contre le peuple.
4- « Une large majorité comprendra l’absolue nécessité d’un schéma de rupture ».
La rupture doit être totale : le régime politique, la Constitution, les lois, le mode de gouvernement, le personnel politique, médiatique, judiciaire, la vision de la culture, les mentalités… Autant dire mission impossible.
5- « Ne vous trompez pas d’ennemi ». Trois forces principales vont s’affronter : le Rassemblement national, de Marine Le Pen et Jordan Bardella, favori d’après les sondages, le Nouveau Front Populaire réunissant tous les partis et caciques de la gauche, et Renaissance, le parti centriste de Macron.
Tous mangent au même râtelier, sont soumis aux mêmes forces occultes, obéissent aux mêmes ordres. Le vainqueur, quel qu’il soit, mettra en œuvre le programme mondialiste messianique, avec quelques variantes, quelques déclinaisons différentes : Europe fédérale, euro numérique, obligation des injections, numérisation de tous les aspects de la vie, gouvernement mondial, LGBTisation des esprits, silence sur la pédocriminalité, wokisme, idéologie du genre, éducation à la sexualité, transhumanisme, cosmopolitisme, avortement à outrance, euthanasie, eugénisme, immigration, islamisation, déculturation, dépopulation. Les questions internationales sont les seuls vrais motifs de désaccord : Ukraine et Palestine. Le vainqueur, quel qu’il soit, continuera le travail de destruction de la France et de l’humanité. De toute façon, il ne dispose pas des cartes nécessaires au redressement de la France.
6- « l’acte terminal d’euthanasie de la République ». En effet, tout découle du système révolutionnaire né en 1789 pour mener à bien ce combat vers la République universelle prônée par le chevalier de Ramsay en 1737. Un système républicain oligarchique et ploutocratique qui achemine infailliblement au mondialisme.
La République, c’est concrètement le parti de l’étranger. Celui de l’anti-France où, au nom des droits de l’homme, le dernier arrivant sera toujours mieux accueilli que l’autochtone, celui qu’elle accuse de tous les maux. La République favorise hypocritement et faussement les uns pour affaiblir les autres. Elle mine la collectivité et fait dans le désintérêt général. Elle détruit de l’extérieur en important de la main-d’oeuvre à bas prix et des capitaux étrangers. Elle détruit de l’intérieur en infiltrant et sclérosant toutes structures de contestation. Elle se prétend une et indivisible alors qu’elle divise pour mieux régner, s’efforce d’opposer selon le niveau social, l’appartenance ethnique, raciale ou religieuse de la population. Son credo est d’attaquer tout ce qui relève de l’ordre naturel.
Un convent maçonnique de 1894 indiqua : « La franc-maçonnerie n’est autre chose que la république à couvert, comme la république elle-même n’est autre chose que la franc-maçonnerie à découvert ».
En 1923, un convent du Grand Orient rapporta : « À la République française, fille de la Franc-Maçonnerie française ».
C’est dire si, pour les francs-maçons, ce régime est le leur. Les valeurs républicaines sont les faux principes de la Franc-Maçonnerie. République et Franc-Maçonnerie sont indéniablement liées et inséparables. L’esprit républicain est fidèle à celui de la Franc-Maçonnerie. Le Grand Orient de France affirme cette convergence d’idées :
« La philosophie de la République n’est, au fond, rien d’autre qu’un humanisme, la foi dans la possibilité d’un plein développement de toute potentialité humaine sous le seul contrôle de la raison. Elle exprime un immense acte de confiance dans le pouvoir de l’homme d’assurer lui-même son salut au-delà de tout appel au surnaturel ».
Antoine Blanc de Saint-Bonnet en convient : « Fondée sur des chimères et soutenue par l’imposture, la république conduit les peuples à leur perte et l’humanité à sa fin ».
Quand trois ennemis présentent les mêmes dangers, sans aucun espoir d’amélioration, peut-on choisir l’ennemi le moins mauvais, Macron et Mélenchon étant hors normes ?
Jean Saunier
Le Blog de Thérèse 