En Inde, les islamistes ne sont plus les maîtres du pays

Les mahométans, envahisseurs de l’Inde, se plaignent de discriminations. Alors qu’ils ont toujours refusé de faire partie de la nation indienne, comme les autres composantes de la société. Dans les années 1920, ils ont provoqué des émeutes dans tout le pays pour se venger des Britanniques responsables du démantèlement du califat ottoman après la Première Guerre mondiale. L’oumma d’abord.

Les Britanniques, qui ne voulaient pas compromettre leur politique arabe, laissèrent des dizaines de milliers d’hindous se faire massacrer sans intervenir. Pour les mahométans, les hindous étaient « une race chétive, craintive et peu combative ». Des sous-hommes. C’est exactement ce que pensent aujourd’hui les djihadistes des « souchiens ».

En 1923 le nationaliste hindou V.D. Savarkar publie Hindutva. Le manifeste des Indiens de souche. En 1925, un mouvement paramilitaire, le RSS, est créé. On y enseigne le maniement des armes et on y étudie l’histoire du glorieux passé de l’Inde… Narendra Modi est issu de cette mouvance devenue BJP Bharatiya Janata Party,malgré son interdiction par le traître collabo Nehru.

Pour éradiquer le terrorisme islamique, les Indiens ont trouvé le vaccin

Deux doses suffisent : la pelleteuse ou le bulldozer pour démolir les immeubles, commerces et mosquées des fauteurs de troubles. Et leur mise au ban de la société, avec expulsion si nécessaire.

Les hindouistes qui représentent 80 % de la population indienne n’en pouvaient plus des agressions quotidiennes contre leurs personnes, leurs biens et leurs lieux de culte, commises par des djihadistes.

À tel point que les partisans du Premier ministre Narendra Modi ont fêté sa réélection en défilant juchés sur des pelleteuses. Les plus motivés se sont même fait tatouer des bulldozers ! Depuis, la politique du bulldozer a fait des adeptes dans tous les États de la fédération indienne, forcés de constater que ces ripostes musclées étaient des réponses très bien captées par les fauteurs de troubles.

S’y ajoute l’incitation à dégager vers les États voisins musulmans, sans violences inutiles, simplement en privant les salafistes des aides sociales, souvent leurs principaux moyens de subsistance. Et en expédiant dans des bagnes les énergumènes violents à la comprenette trop lente pour saisir qu’il y a des limites à ne pas dépasser.

Pour dire à quel point ils en ont ras le bol, les hindouistes pour qui le respect de la vie est sacré ont restauré en 2004 la peine de mort par pendaison pour certains crimes « signés » tels que les assassinats de masse par des terroristes, les viols collectifs, les égorgements et décapitations.

Une longue histoire d’amour, de tolérance et de paix

Ils se battent depuis l’an 711 de notre ère contre les métastases de ce cancer, quand le Sind (partie Ouest du sous-continent) fut envahi par des moudjahidines. Ravages, saccages et carnages se succédèrent pendant des siècles contre des pacifistes qui refusaient de se convertir.

Outre la destruction des temples hindouistes, bouddhistes et jaïnistes, des cités entières, femmes et enfants compris, furent passées au fil de l’épée ou brûlés vifs. Les plus « chanceux » étaient emmenés en esclavage pour être vendus sur les marchés de Perse ou d’Arabie.

La terreur atteignit son paroxysme entre 1211 et 1414 quand ces fanatiques décidèrent d’éradiquer toutes les populations de kouffars. Provoquant des exodes massifs vers le centre de l’Inde (Dravida) et les régions himalayennes du Nord plus faciles à défendre.

Dans le même temps, sous un air avenant, la cinquième colonne des commerçants, des architectes et des artistes préparait l’islamisation du Kerala (sud-Ouest du pays, carrefour maritime) et d’autres provinces, en faisant éclore partout des mosquées après avoir corrompu des notables.

La victimisation ne prend plus en Inde

Les « humanistes » se gardent de fustiger le lynchage d’une dizaine de musulmans par une foule furieuse en 2002… car ils n’oublient pas que c’était une réaction regrettable mais compréhensible à l’assassinat de 300 pèlerins hindouistes, dans un train incendié par des islamistes qui en avaient bloqué les portes.

Comme pour les 200 pèlerins mitraillés en 2006 sur les escaliers bordant le Gange à Varanasi (Bénarès), la ville la plus sacrée de l’hindouisme et du jaïnisme, au bord de la plus sainte des sept rivières. Que diraient-ils si on leur rendait la politesse à la Mecque ?

Comme les bombes tuant en 2007 une cinquantaine de personnes dans des temples hindouistes à Hyderabad, autre ville sainte, à ne pas confondre avec son homonyme au Pakistan.

Comme la centaine de morts à Jaipur en 2008, dans un temple hindouiste. Et comme, cette même année, les attentats de Bombay revendiqués par les « moudjahidines du Deccan » téléguidés par le Pakistan, faisant 120 morts et 300 blessés malgré la prompte intervention des Forces Spéciales.

Une litanie interminable d’attentats. Comme partout. Mais en Inde, on n’oublie pas. Et on ne pardonne pas.

L’Islamic Popular Front of India, filiale d’Al Qaïda, avait été infiltrée pour trouver des preuves des crimes commis par ses membres. Des mutilations aux égorgements et décapitations au nom d’Allah, des gens qu’ils accusaient d’apostasie ou de blasphème. Et des punitions pour les femmes indociles, tabassées, violées et défigurées. Avec rackets, trafics de drogues et de véhicules volés pour leur argent de poche.

Cette organisation terroriste avait beau avoir une vitrine BCBG (quelques universitaires, journalistes, politiciens et magistrats parlant un anglais impeccable), des perquisitions en octobre 2022 ont découvert des armes, explosifs, scanners, uniformes de la police et plans de banques et casernes. La panoplie d’une bande de tueurs bien organisés.

Malgré leurs véhémentes protestations et des émeutes sanglantes, les propagandistes ont été bannis ou incarcérés. Et des activistes liquidés discrètement, puisque certains tribunaux les relâchaient, par crainte de représailles ou parce qu’ils partageaient la même croyance.

Un Premier ministre décidé à écraser l’ennemi intérieur

En Inde, la politique de Narendra Modi, Premier ministre depuis 2014, reconduit pour la troisième fois cette année, se réclame de l’Hindutva. L’inde aux Indiens. Dans une nation hindoue.

C’est affirmé sans complexe tout comme l’évidence de la préférence nationale. Narendra Modi attribue une priorité aux mesures économiques et sociales en faveur de ses concitoyens hindouistes. Et limite ou retire leurs droits aux « autres », en proportion de leur rejet de la société, de leurs discours de haine et de leur refus de respecter les lois.

Sa loi sur la citoyenneté de 2019 subordonne l’attribution de la nationalité indienne à un mélange de considérations ethniques, civiques et religieuses pour les nouveaux venus. Et la refuse ou la retire aux délinquants, terroristes et autres fauteurs de troubles. En outre, il a interdit le port du voile à l’école et proscrit les hurlements dissonants des appels à la prière dans les lieux publics.

Il n’est pas question de remettre en cause la liberté des cultes dans un pays qui compte une dizaine de religions historiques et une centaine de sectes. Mais de rappeler que toute croyance relève du domaine privé et doit s’exercer de façon neutre dans le respect de ses voisins et de l’ordre public.

Pour la petite histoire, en Uttar Pradesh son État d’origine (l’Inde est une république fédérale), Modi a invité à voter en 2020 une législation visant à contrôler les mariages interreligieux entre une hindouiste et un mahométan, quand celui-ci affiche des convictions radicales dans lesquelles il entend entraîner son épouse. Pas de « love jihad » comme pour ces Françaises qui ont suivi leur seigneur et maître en Orient pour y devenir des criminelles à leur tour.

Christian Navis

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